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C comme Chouette et Chasseurdor...
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- Écrit par FIEVRE Christine
- Catégorie : Challenge 2019

Lorsque l'archiprêtre Pommyer de Pressac modifie le patronyme de Pantaléon Derechauvette en Pantaléon de la Chouette !!!
Il semble également que sur Pressac les surnoms soient fréquents car son fils est dit "Chasseurdor" à son décès
On trouve également Jean Audebert dit "Mourron"
Antoine André dit "le grand poumier"
Il semble en tout cas que mes ancêtres ci-dessus aient été honorés par cette coutume....
B comme... Boudault François
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- Écrit par Jean-Paul BOUDAULT
- Catégorie : Challenge 2019

François nait le 12 juillet 1751 à Vançais (79). Il est le fils ainé de François (28 ans) et de Marie Bosseboeuf (22 ans). Il a été baptisé "sous condition" et ses parrain et marraine sont Jean Charlier et Jeanne Rouyer, sa grand-mère maternelle.
Entre 1757 et 1762, ses parents déménagent et vont s'installer à Payré, à la métairie de la Roncière.
A 23 ans, il épouse, le 13 juin 1775 à Payré, Louise Potonnet âgée de 22 ans en présence de ses parents et de la mère de Louise qui est la fille de Joseph et de Jeanne Coulombeau.
Malheureusement, Louise décède moins d'un an plus tard, le 22 février 1776.
Le 30 septembre 1777, toujours à Payré, François épouse Madeleine Guérin, mon ancêtre. Il a alors 26 ans et Madeleine 17. Elle est la fille de Jacques et de Anne Chartier.
François est alors laboureur et son beau-père est meunier à Neuil. C'est très certainement à partir de là qu'il apprend le métier de meunier qu'il va transmettre à ses enfants. Jean Gervais, dans son ouvrage "Voici Payré qui m'est conté" précise que le moulin de Neuil sera vendu vers 1883 par un Boudault à un couple Grimault.
Ils auront au moins 8 enfants dont mon ancêtre François, leur ainé.
Madeleine décède le 22 octobre 1790 peu de temps après la naissance de ses jumeaux. Elle a alors 31 ans.
François est alors maire de Payré dont il sera le 1er maire.
Il se remarie le 1er avril 1793 avec Louise Rouhaux veuve de Jean Gendre. Ils ont tous les deux 41 ans.
François a joué un rôle important lors de la Révolution. Si les cahiers de doléances de Payré n'ont pas été retrouvés, on sait qu'ils ont été rédigés le 1er mars 1789 sous la présidence de François en tant que syndic. L'Assemblée constituante a alors transformé les paroisses en communes et François fut nommé maire. Il fut donc le 1er maire de cette commune. On trouve sa signature à la fin du registre paroissial de 1792 où, avec plusieurs autres, il vient prendre possession de ce registre le 7 janvier 1792.
François sera maire jusqu'à son décès le 20 mai 1809 au moulin de Neuil où il était encore meunier. Il a alors 57 ans.
A comme... AUTÉ / AUTET
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- Catégorie : Challenge 2019

En 1992, nous avions alors 10 ans. Feue notre arrière-grand-tante Jeanne BARBOTIN, soeur de notre arrière-grand-mère, nous annonça que nous avions de la famille au Canada !
Nous vous laissons imaginer dans la tête du petit garçon que nous étions à l’époque l’effet qu’une telle découverte eut sur nous ! De la famille au Canada ? Comment cela se fait-il ? Pourtant toute notre famille est française ? Quelles en sont les raisons ? Est-ce la Petite Maison dans la Pairie ? En parlant de la Petite Maison dans la Prairie, vous verrez par la suite que nous n’étions pas si loin de la réalité…
Feu notre grand-oncle William HÉRAULT, présent lors de cette annonce de sa tante Jeanne, ajouta : « Je me prénomme William, parce que maman aimait beaucoup ce prénom anglophone que portait son cousin canadien William MACKIE, qui était du même âge qu’elle ! ».
Notre grand-père Pierre, frère de William et neveu de Jeanne, ajouta le même jour : « Je me souviens de William MACKIE, il était venu au mariage de ma marraine à Sammarçolles lors d’une permission en 1945, j’avais 7 ans. Il était dans l’armée canadienne à Berlin ! »
Alexandre Chanteguet
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- Écrit par Patrice Bochereau
- Catégorie : Hommage aux Poilus de 14-18

J'ai écrit les combats du gd-père de mon épouse, Alexandre Chanteguet, originaire du Blanc(36) et des environs de la Trimouille(86).
à découvrir ici :
http://patboch.free.fr/Alex_Chanteguet.htm
Il est revenu, gravement blessé (le 9 mai 1917), de la guerre des Balkans après avoir été déjà blessé sur la Marne, le 5 octobre 1915.En mai 1915, il avait échappé à la mort, une première fois, à Ville-sur-Tourbe(Marne), grâce à une crise de fièvre paludéenne, survenue peu avant. Sa guerre prit fin à la "cote 1050", près de Monastir, dans la nuit du 9 mai 1917, et ça lui a peut-être sauvé la vie car son 37è RIC a subi de lourdes pertes pendant ces combats des 9, 10 et 11 mai 1917 :
Tués,
7 officiers et 48 hommes,
Blessés,
16 officiers et 288 hommes, parmi lesquels Alexandre Chanteguet
Disparus,
2 officiers et 143 hommes.
Cette blessure à la colonne vertébrale le fit boiter le reste de sa vie ; il est mort à 80 ans.
Johana et les sages-femmes en Alsace
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- Écrit par Jean-Paul BOUDAULT
- Catégorie : Lire, voir, écouter

Le mémoire de Johana Figliuzzi aborde plusieurs points : tout d’abord la construction d’un discours sur les sages-femmes pour justifier la nécessité de les surveiller et de les former. Ensuite, la formation et du recrutement comme moyen de contrôle. Enfin, l’activité concrète des sages-femmes dans la communauté, de leur rôle médical, social et religieux, mais aussi des conflits entre les sages-femmes. Johana cherche à critiquer l’idée selon laquelle la formation des sages-femmes au XVIIIe siècle est le résultat d’une « modernisation » de la médecine et des pratiques, qui s’impose nécessairement face à l’ignorance des sages-femmes des campagnes en particulier.
Les liens sacrés du mariage
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- Écrit par Jean-Paul BOUDAULT
- Catégorie : Lire, voir, écouter

Pourquoi vouloir que les mariages durent toujours ? Pendant longtemps au Moyen Âge, cela n’a pas été le cas. La conception, de laquelle nous héritons, qu’un mariage est censé durer « jusqu’à que la mort les sépare » n’est en réalité qu’une évolution pas si évidente, impulsée par l’Église chrétienne.
Le médecin médiéval face à l'avortement
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- Écrit par Jean-Paul BOUDAULT
- Catégorie : Lire, voir, écouter
